lundi 3 décembre 2018

« Ne laissons pas tomber l’Afghanistan » !

Une tribune du Journal « Le Monde » qui demande de ne pas oublier l’Afghanistan, pays avec lequel nous avons une histoire et des engagements !!!

« Ne laissons pas tomber l’Afghanistan » !:

Pour ceux qui ne sont pas abonnés au Monde, je vous donne juste une phrase qui retrace l’esprit de cet article :

"La France devenue si peu généreuse ?

Nous n’ignorons pas que la France ne peut pas être partout. Mais n’est-elle plus en capacité d’honorer même ses traités d’amitié ? Est-elle devenue si peu généreuse qu’elle n’entend plus les demandes pressantes d’une population qui n’en peut plus de se trouver prisonnière du jeu de ses voisins et des grandes puissances ?"

Allez, ne croyez pas tout ce que l'on vous dit ! Vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une activité normale ! 

dimanche 30 septembre 2018

De retour !

Depuis de si longues années, me voici de retour avec un nouveau post en référence à un article de l’Usine Nouvelle me paraissant intéressant. Il s’agit de la sieste au travail… Après tout, très chers managers, que préférez-vous : la quantité (d’heures au travail) ou la qualité (du travail fourni) ?

https://www.evernote.com/shard/s2/sh/beb54cb0-4790-4687-9392-ae539ec70835/49f248bf70103c6f73c299354ad688ae

 

Sieste et travail

dimanche 9 octobre 2011

Mort de Steve Jobs et coup de gueule

Steve Jobs

Je suis dans un train me menant à Strasbourg et j'apprends que notre très cher Steve Jobs, co-fondateur d'Apple, est mort à 56 ans. J'avoue être ému par cette nouvelle : non pas que je vénérais ce patron autoritaire et autocratique mais je reconnais qu'il avait du génie et qu'il était visionnaire. Cette nouvelle m'a permis de prendre du recul sur le journal que je suis en train de lire : le très bon Courrier International (offert généreusement par la SNCF, privilège de la première classe...) Or, je me rends compte que nos journalistes (en Europe) ne sont, eux, absolument pas dans le génie et n'ont de visionnaire que leur capacité à suivre ce que le plus fort ou le plus riche va dire !!! 

Je lis des analyses concernant la crise actuelle qui me font froid dans le dos. Tout d'abord, ils (les journalistes) mettent sur le même plan les dettes "toxiques" de la crise de 2008 avec la crise des dettes souveraines qui nous secoue actuellement. On compare une crise, celle de 2008, qui est née de la spéculation faite sur le dos de la dette des classes basses et moyennes des États-Unis, principalement, avec une crise née de la possible incapacité de certains états du sud de l'Europe à rembourser les dettes qu'elles ont contractées. Si dans les deux cas, ce sont bien les banques, par leur comportement, qui ont déclenché ces crises, je ne peux quand même pas mettre sur le même plan une banque qui prête à une personne, sans tenir compte réellement de ses revenus, sur la base d'une hypothétique valeur immobilière avec une banque qui prête à un état européen... Si des erreurs existent dans les deux cas, elles ne sont pas, à mon avis, sur le même plan moral. 

Pour autant, nous avons bien les journalistes qui s'amusent à faire ce type de comparaison. Ils jouent le jeu des spéculateurs et autres Moody's ! Stop à la désinformation ! Revenons sur des valeurs plus seines. S'il fallait se poser des questions quant au désendettement des banques, c'était bien en 2008. Si nous permettons aux banques de spéculer sur les plus pauvres et ne les autorisons pas à prêter à des états, quand bien même avec des problèmes de gestion, c'est tout un pan de morale et de déontologie économique qui s'effondre.

Remettons nous à l'endroit : les dettes des banques françaises d'aujourd'hui ne sont pas à mettre sur le même plan que les dettes des banques anglo-saxonnes de 2008. Ne jouons pas le jeu des spéculateurs.

Allez, ne croyez pas tout ce que l'on vous dit ! Vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une activité normale !

dimanche 17 avril 2011

Il faut se bouger !

Voici un petit texte de Fred VARGAS qui nous incite à ne pas rester dans la contemplation mais d'agir, et vite !

 

"Nous y voilà, nous y sommes. Depuis cinquante ans que cette

tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l'incurie de

l'humanité, nous y sommes.

Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l'homme sait le faire

avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu'elle lui fait mal.

Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités

d'insouciance.

Nous avons chanté, dansé.

Quand je dis « nous », entendons un quart de l'humanité tandis que

le reste était à la peine.

Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos

pesticides à l'eau, nos fumées dans l'air, nous avons conduit trois

voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du

bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les

nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche,

nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie,

créé des clones, franchement on peut dire qu'on s'est bien amusés.

On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme

faire fondre la banquise, glisser des bestioles génétiquement

modifiées sous la terre, déplacer le Gulf Stream, détruire un tiers

des espèces vivantes, faire péter l'atome, enfoncer des déchets

radioactifs dans le sol, ni vu ni connu.

Franchement on s'est marrés.

Franchement on a bien profité.

Et on aimerait bien continuer, tant il va de soi qu'il est plus

rigolo de sauter dans un avion avec des tennis lumineuses que de

biner des pommes de terre.

Certes.

Mais nous y sommes.

A la Troisième Révolution.

Qui a ceci de très différent des deux premières (la Révolution

néolithique et la Révolution industrielle, pour mémoire) qu'on ne

l'a pas choisie.

« On est obligés de la faire, la Troisième Révolution ? »

demanderont quelques esprits réticents et chagrins.

Oui.

On n'a pas le choix, elle a déjà commencé, elle ne nous a pas

demandé notre avis.

C'est la mère Nature qui l'a décidé, après nous avoir aimablement

laissés jouer avec elle depuis des décennies.

La mère Nature, épuisée, souillée, exsangue, nous ferme les robinets.

De pétrole, de gaz, d'uranium, d'air, d'eau.

Son ultimatum est clair et sans pitié :

Sauvez-moi, ou crevez avec moi (à l'exception des fourmis et des

araignées qui nous survivront, car très résistantes, et d'ailleurs

peu portées sur la danse).

Sauvez-moi, ou crevez avec moi.

Evidemment, dit comme ça, on comprend qu'on n'a pas le choix, on

s'exécute illico et, même, si on a le temps, on s'excuse, affolés et

honteux.

D'aucuns, un brin rêveurs, tentent d'obtenir un délai, de s'amuser

encore avec la croissance.

Peine perdue.

Il y a du boulot, plus que l'humanité n'en eut jamais.

Nettoyer le ciel, laver l'eau, décrasser la terre, abandonner sa

voiture, figer le nucléaire, ramasser les ours blancs, éteindre en

partant, veiller à la paix, contenir l'avidité, trouver des fraises

à côté de chez soi, ne pas sortir la nuit pour les cueillir toutes,

en laisser au voisin, relancer la marine à voile, laisser le charbon

là où il est, (attention, ne nous laissons pas tenter, laissons ce

charbon tranquille) récupérer le crottin, pisser dans les champs

(pour le phosphore, on n'en a plus, on a tout pris dans les mines,

on s'est quand même bien marrés).

S'efforcer. Réfléchir, même.

Et, sans vouloir offenser avec un terme tombé en désuétude, être

solidaire.

Avec le voisin, avec l'Europe, avec le monde.

Colossal programme que celui de la Troisième Révolution.

Pas d'échappatoire, allons-y.

Encore qu'il faut noter que récupérer du crottin, et tous ceux qui

l'ont fait le savent, est une activité foncièrement satisfaisante.

Qui n'empêche en rien de danser le soir venu, ce n'est pas

incompatible.

A condition que la paix soit là, à condition que nous contenions le

retour de la barbarie, une autre des grandes spécialités de l'homme,

sa plus aboutie peut être.

A ce prix, nous réussirons la Troisième révolution.

A ce prix nous danserons, autrement sans doute, mais nous danserons

encore."

 

Fred Vargas

Archéologue et écrivain

 

Allez, ne croyez pas tout ce que l'on vous dit ! Vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une activité normale !

mercredi 21 avril 2010

Isla presidencial : entre Lost et Koh Lanta pour présidents sud-américains...

Voici une série de films d'animation qui me paraissent très intéressants... Ils sont faits par des vénézuéliens. Je vous invite donc à télécharger cette série, gratuite sur Youtube !



Allez, ne croyez pas tout ce que l'on vous raconte ! Vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une activité normale !

samedi 16 janvier 2010

Comment se débarrasser de son téléphone portable tout en faisant un geste solidaire ?

En lisant cet article vous saurez peut-être comment faire pour vous séparer de vos très chers téléphones portables qui trainent dans le fond de vos placards ou tiroirs sans jamais les jeter, "au cas où... !"

Comment se débarrasser de son téléphone portable tout en faisant un geste solidaire ?

Allez, ne croyez pas tout ce que l'on vous dit ! Vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une activité normale !

Bonne année de l'ina

Bonne année à tous et pour que cette année commence bien je vous envoie une vidéo de l' INA (Institut National de l'Audiovisuel). C'est d'un kitsch que j'adore…

Allez, ne croyez pas tout ce que l'on vous dit ! Vous pouvez éteindre votre ordinateur et reprendre une activité normale !